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Messioune Kahina et Djekieur Baya. Mémoire de fin de cycle, Master en psychologie clinique Université de Béjïa.

Extrait de l’introduction : « Dans notre recherche nous sommes intéressés à l’étude de « l’agressivité chez les adolescents trisomiques » et pour cela notre terrain d’étude est au centre pédagogique des handicaps manteaux de Timzrith (Bejaia) qui répond aux objectifs de notre recherche, et nous nous sommes servies de l’entretien semi directif et de la grille d’observation pour l’évaluation de l’agressivité. Afin de réaliser cet objectif, nous avons réparti notre travail en deux parties : partie théorique et partie pratique. »

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Jeanne Boulinaud. Intérêts de l’utilisation d’albums jeunesse auprès d’enfants porteurs de trisomie 21 en vue d’enrichir leurs compétences lexicales et morphosyntaxiques. Sciences cognitives. 2015.

Extrait de l’introduction : « Les enfants porteurs de trisomie 21 présentent des difficultés langagières malgré un réel désir de communiquer. L’enrichissement de leurs compétences lexicales et morphosyntaxiques se situe donc au cœur du travail de l’orthophoniste afin de leur donner la meilleure communication possible. Aussi, nous nous sommes demandé par quel moyen améliorer ces capacités verbales. Les supports visuels étant en général privilégiés par ces enfants, nous avons donc suggéré que l’utilisation d’albums jeunesse pourrait être pertinente. En effet, l’album jeunesse, en tant que médiateur thérapeutique en orthophonie, est un outil adapté pour entrer en relation avec l’enfant et développer son langage. C’est un support visuel ludique, très riche et souple d’utilisation. Nous avons donc choisi d’étudier les intérêts de l’utilisation d’albums jeunesse auprès d’une population d’enfants porteurs de trisomie 21, âgés de 8 à 10 ans, en vue d’enrichir leurs capacités langagières. Dans une première partie, nous étudierons la trisomie 21, et plus particulièrement les troubles langagiers qui en découlent. Par la suite, nous verrons en quoi l’album jeunesse peut être un support adapté en orthophonie auprès de cette population. Nous exposerons ensuite le matériel et la méthode utilisés durant cette étude : bilans, albums et protocole de rééducation détaillé. Nous présenterons ensuite nos résultats sous la forme de trois études de cas, que nous discuterons enfin. »

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Tiphaine Hocquemiller. Les difficultés d’allaitement chez le nourrisson porteur de trisomie 21 et les pistes thérapeutiques. Sciences cognitives. 2019. ⟨dumas-02174990⟩

Résumé:

Cette revue de littérature présente les difficultés d’allaitement rencontrées par les mères d’enfants porteurs de trisomie 21. Les difficultés principales retenues sont les suivantes : faible succion, un état somnolent, une hypotonie globale, une manque de mobilité des muscles péribuccaux et masticateurs, une cavité buccale étroite. Malgré ces difficultés et au regard des larges bénéfices profitables à l’enfant et à la mère, il semble primordial d’accompagner ces mères afin de leur permettre d’initier et/ou maintenir l’allaitement. En effet l’un des principaux freins à l’allaitement chez ces mères, est le manque de soutien et d’accompagnement des professionnels de santé. L’orthophoniste pourrait être un interlocuteur privilégié dans le suivi de ces enfants, dans le cadre d’un suivi pluridisciplinaire..»

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A COMBLAIN. Université de Liège, Faculté de psychologie et des Sciences de l’Education, Laboratoire de Psycholinguistique.

Résumé de l’article : « Certaines études neuropsychologiques de patients cérébro-lésés suggèrent que la mémoire de travail contribue à l’apprentissage à long terme de structures phonologiques non-familières. Les données disponibles sur des enfants normaux indiquent que la mémoire phonologique à court terme influence l’acquisition de nouveaux mots de vocabulaire. Par ailleurs, on sait que les personnes trisomiques 21 ont une mémoire phonologique à court terme déficiente ainsi que des connaissances lexicales limitées. Dès lors, étudier le lien entre ces deux variables dans la trisomie 21 s’imposait. Nos résultats indiquent que chez ces sujets, tout comme chez les enfants normaux, le niveau de développement lexical semble étroitement lié à la mémoire phonologique à court terme et plus particulièrement aux capacités de répétition de non-mots.»

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Sophie Van Cauwenberge, MatheO, Faculté de psychologie, logopédie et sciences de l’Education, Mémoire, soutenance des 22 et 23 janvier 2019, 89 pages

Résumé de l’article : « L’objectif de notre mémoire était de voir s’il y a une influence d’un enfant porteur d’une trisomie 21 sur la parentification de ses frères et sœurs avec un développement typique. Méthodologie : Notre échantillon est composé de 13 frères/sœurs d’enfants avec une trisomie 21 entre 8 et 12 ans. Nous avons fait une étude en ligne et nous avons donc contacté les familles par les forums et groupes sur un réseau social. Après avoir reçu leur confirmation de participation, nous leur avons envoyé les informations et les consentements. Lorsqu’ils nous les ont rendus signés, les parents complétaient un questionnaire d’anamnèse et les enfants le questionnaire de Godsall & Jurkovic (1995), le « Parentification Questionnaire-Youth ». Plus le score est haut, plus il y a une parentification destructrice (Godsall et al., 2004). Résultats : Le score moyen de notre échantillon n’est pas très haut et donc il n’y aurait pas une parentification destructrice. Nous n’avons pas trouvé de différence entre les frères et les sœurs d’enfants porteurs d’une trisomie 21. Il n’y aurait pas de différences entre les aînés et les cadets d’enfants porteurs d’une trisomie 21. Nous n’avons pas trouvé une influence de l’âge sur la parentification. Nous avons plusieurs limites concernant notre échantillon, la procédure, le questionnaire et le besoin d’une autre variable. Conclusion : Nous pensons qu’il serait intéressant de pouvoir refaire cette étude en corrigeant les limites. De plus, nous pensons que c’est important de prendre en compte les frères et sœurs dans la prise en charge de l’enfant porteur d’une trisomie 21 et de conseiller les parents par rapport à leurs relations avec leurs enfants porteurs d’une trisomie 21 et ceux avec un développement typique.»

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