Articles

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.

Léa Fraisse. Échanger sans parler : quelle place tient la communication non-verbale au sein de la relation entre un enfant ayant un Trouble du Spectre Autistique et un(e) psychomotricien(ne) ?. Psychologie. 2019. ⟨dumas-02178147⟩

Résumé : « Ce mémoire tente de mettre en évidence la place et l’importance de la communication non-verbale au sein de la relation entre un enfant TSA et un psychomotricien. C’est en passant par le développement de la communication non-verbale chez l’enfant, ainsi que par un point théorique sur l’autisme, et en évoquant l’impact des particularités sensorielles sur le fonctionnement d’un sujet TSA que l’argumentation est emmenée vers la psychomotricité. En effet, il est important de préciser que la communication non-verbale est présente et utile dans l’accompagnement en psychomotricité, mais également que la psychomotricité peut jouer un rôle dans le développement et l’amélioration de l’utilisation de la communication non-verbale chez un sujet TSA. Les situations au cours desquelles la communication non-verbale est utilisée dans la relation en psychomotricité, et les médiateurs et médiations ” non-verbaux ” par lesquels le psychomotricien peut passer pour développer les échanges durant l’accompagnement d’un sujet TSA sont évoqués dans ce mémoire. Deux études de cas sont présentées pour illustrer l’argumentaire théorique.»

Lire le mémoire

M Roussel, J Wendland. ScienceDirect, Neuropsychiatrie de l’Enfance et de l’Adolescence, 6 février 2019

Extrait du résumé : « Les interactions précoces entre une mère dépressive et son bébé ont fait l’objet de nombreuses études et ont mis en lumière la rareté des échanges au sein de ces dyades. Cependant, à notre connaissance, aucune recherche n’a encore comparé les interactions des mères dépressives à celles des mères ayant une déficience intellectuelle, diagnostiquées selon les critères de la CIM-10. Néanmoins, il est connu que les stimulations d’une mère handicapée intellectuelle dirigées vers son bébé ont tendance à être inadéquates et peuvent entraîner une altération du développement ultérieur de l’enfant. Les mères handicapées mentales ont besoin de soutien après l’accouchement et peuvent avoir des difficultés à prendre soin de leur enfant et à demander de l’aide.»

Lire le résumé entier ou acheter l’article