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Groux Frédéric, « Le psychologue en établissement de la petite enfance », Le Journal des psychologues, 2019/6 (n° 368), p. 63-67. DOI : 10.3917/jdp.368.0063. URL : https://www.cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2019-6-page-63.htm

Résumé : « Dans un établissement d’accueil du jeune enfant (Eaje), le rôle du psychologue est multiple : observations des enfants, soutien à la parentalité, intervention auprès des professionnels de l’institution. Mais à quel cadre théorique peut-il ainsi se référer et comment veille-t-il aux constantes imbrications, parfois fragiles, entre équipe, familles et dynamique institutionnelle ? L’auteur partage ici ses observations à la lumière de quelques exemples cliniques.
Le psychologue en établissement d’accueil des jeunes enfants (Eaje) ne peut échapper à cette triangulaire : famille, équipe et institution. Tous trois sont imbriqués comme des vases communicants. Lorsqu’un des acteurs de ce triangle se tend, il entraîne tout le monde avec lui. J’exposerai le cadre théorique mis en place dans ma pratique de psychologue auprès des familles et des équipes en Eaje.
Pour un psychologue en multi-accueil, une famille avec un enfant en bas âge est potentiellement fragile. Les moments qui entourent les premières années de la naissance sont « difficiles » pour les parents, mais également pour les enfants. Dans la majorité des modes de garde, les psychologues ne sont pas en lien direct avec les familles. Les auxiliaires de puériculture doivent effectuer, en plus de leur poste, un travail préventif de « détection » des familles et des enfants en difficulté. Pour des raisons en partie financières, certains lieux fonctionnent avec un temps de présence minimale d’un psychologue. Ces derniers interviennent, dans le meilleur des cas, dans les réunions d’équipes et rencontrent les familles ainsi que les enfants, à la demande du personnel ou des parents… »

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Xavier Pons, Sophie Hermabessière, Yves Rolland. Sciencedirect, Kinésithérapie, volume 19, Issue 207, mars 2019, pages 21-28

Résumé de l’article : « L’évaluation du risque de chute ne peut pas seulement reposer sur l’examen clinique. Elle doit s’appuyer également sur la connaissance des facteurs de risque spécifiques des résidents tels que leurs traitements, leurs pathologies ou leur niveau de dépendance. Aujourd’hui, il semble essentiel de coupler l’évaluation du risque de chute à l’évaluation du risque de survenue de fractures compte tenu de l’impact de ces dernières en termes de mortalité. Ainsi, de nombreuses initiatives permettent de mieux identifier les résidents à risque de fractures et de chute grave. De plus, la connaissance des caractéristiques des chutes en institution, distinctes de celles survenant à domicile, permet une meilleure prévention de ces événements dont la prévalence est élevée dans les établissements pour personnes âgées. Enfin l’utilisation de nouvelles technologies permettra sûrement dans un futur proche d’améliorer nos tests cliniques prédictifs. »

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