Articles

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.

L’autobiographie musicale tutrice de l’identité dans la maladie d’Alzheimer et apparentée

Je suis étudiante en musicothérapie et ce cas clinique est extrait de mon mémoire de fin d’étude dont le point de départ était l’application du « modèle Berthelon » à domicile :

« Un protocole de prise en charge musicothérapeutique des personnes atteintes de démence de type Alzheimer et apparentée qui ambitionne de :

  • Reconnecter la personne à son identité et à son histoire de vie.
  • Réinscrire son histoire dans une continuité de vie.

Pour permettre à chacun de conserver sa dignité d’être jusqu’à son dernier souffle. »[1]

Dans ce modèle Patrick BERTHELON, montre que l’identification des éléments sonores et musicaux qui ont accompagné les évènements marquant de l’histoire de vie de la personne lui permet d’accéder, à nouveau, à certains souvenirs. Pour ma part, j’ai souhaité montrer que cette reconnexion à son identité lui permettait d’engager une conversation et de s’engager dans la relation.

C’est ainsi que j’ai testé ce modèle auprès de personnes atteintes de maladie d’Alzheimer ou apparentée, vivant à domicile. La prise de contact a été effectuée par l’intermédiaire de l’association France Alzheimer du secteur.

[1] Cours BERTHELON, P. Formation « modèle BERTHELON », AMB, 2021.

 

Si vous souhaitez lire l’intégralité de cet article, merci de vous connecter à votre espace adhérent!

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.

Musicothérapie et Sécurité affective de la personne âgée accueillie en Unité de Vie Protégée

Anamnèse du patient

En Décembre 2016, Me C, à 86 ans, est accueillie au sein d’un EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Elle est atteinte d’une démence de type Alzheimer qui amenuise ses capacités d’autonomie.

Alors qu’elle vit toujours à son domicile, ses proches constatent qu’elle rencontre fréquemment des difficultés à se situer dans le temps et l’espace. Mme C ne peut plus assurer les gestes de la vie quotidienne comme les soins d’hygiène, l’alimentation, les choix vestimentaires en fonction du jour, de la nuit, des saisons.

Ses enfants, conscients de la pathologie démentielle, entament les démarches nécessaires pour un accueil en Unité de Vie Protégée (UVP) au sein d’un EHPAD adapté aux besoins de leur mère et répondant à des facilités de proximité familiale.

Pour lire la suite de l’article, veuillez accéder à votre espace adhérent (rubrique cas clinique) !

Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.
Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir ce contenu.