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Inès Leclercq. La compréhension de la métaphore chez l’adolescent dysphasique. Médecine humaine et pathologie. 2013. ffdumas-01504589f

Résumé : « « Il tombe des cordes », « il a perdu le nord », « cet enfant est un cochon »… Quotidiennement, nous faisons usage de métaphores comme celles que nous avons citées. Ainsi, de par la fréquence d’utilisation du langage métaphorique, son accès est essentiel dans la vie courante. Dans le cadre de cette recherche, nous nous sommes intéressée à la dysphasie qui est décrite comme un trouble sévère et spécifique de l’acquisition du langage. Constatant les difficultés de maîtrise du langage oral éprouvées par les dysphasiques, nous avons cherché à déterminer si la compréhension d’un langage métaphorique leur est possible. Dans ce travail, nous nous sommes également attachée à mettre en évidence la façon dont ils appréhendent les métaphores. De façon théorique, nous nous sommes consacrée dans un premier temps, à la description des étapes d’acquisition du langage oral afin de pouvoir ensuite détailler les difficultés propres aux sujets dysphasiques. Enfin, nous avons tenté de délimiter le concept de métaphore. Nous avons donc orienté notre recherche sur la compréhension des métaphores à travers deux épreuves proposées à trente adolescents dysphasiques. L’analyse des résultats obtenus en interprétation met en évidence qu’une part importante d’adolescents se situe au-dessus du seuil de pathologie. Nous remarquons que les métaphores mal interprétées ne sont, en majorité, pas comprises de façon littérale. Nous constatons également que les capacités de compréhension peuvent varier en fonction de la métaphore elle-même ou du type de métaphore présenté.»

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Fronville Claire, « Entre l’enfant et ses parents, écrire une histoire », Figures de la psychanalyse, 2019/1 (n° 37), p. 119-132. DOI : 10.3917/fp.037.0119. URL : https://www.cairn.info/revue-figures-de-la-psy-2019-1-page-119.htm

Résumé : « La rencontre d’un enfant et de ses parents convoque la créativité de l’analyste. Dans le transfert, il s’agit de permettre la création d’un certain lieu, à la fois aire de jeu et zone de remaniement. Ce lieu se situe à l’interface des inconscients des parents, de celui de l’enfant et de celui de l’analyste. Ici, l’écriture s’est introduite au cœur même des séances avec les parents pour soutenir la constitution de ce lieu, comme prétexte (pré-texte) à la constitution du sujet parlant.»

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